Le 4 novembre 2025.
En raison des arnaques récurrentes sur Amazon, de sa politique aberrante au détriment des vendeurs, du fait que ce site est devenu une usine à gaz, à compter de ce jour, nous ne vendrons plus nos livres sur cette plateforme.
Sans parler des normes européennes qui nous sont imposées, concernant des sujets qui ne nous concernent même pas, mais qui doivent être dans les clous, parce que cela rapporte à l’UE, avec des coûts en € hors norme (cette monnaie de singe).
Cela implique (pour nous, petite structure modeste) des frais inutiles qui se cumulent et qui ne font qu’enrichir des sociétés pondues par des technocrates inutiles et décérébrés qui (sans parler des fonctionnaires qui sont chargés de les faire applique, mais ne connaissent même pas les règles) et qui prennent les travailleurs pour des pompes à fric. Et j’en passe.
Nous quittons donc Amazon et vous invitons à commander directement sur notre site : https://www.sesheta-publications.fr/
Comble de la mesquinerie, pour rester poli, tous ces intermédiaires inutiles vous prennent de haut, se sachant à l’abri derrière des normes et des décrets mortifères de cette UE anti-démocratique.
Rien que cette année, nous avons dépensé plus de 1 000 € pour être aux normes des cartons d’emballage, du recyclage, papiers, des images, et autres organismes de science-fiction, etc., etc., imposées par ces normes de l’EU.
De la qualité du papier employé pour les impressions (écolo, pas écolo sur des normes qui ne sont que du copinage sans réel sens écologique), des documents légaux à fournir à droite et à gauche, des douanes, de l’anticorruption, de l’anti-blanchiment, de l’anti-terrorisme, etc. etc., etc. etc… Sauf de l'anti-connerie, car ils seraient immédiatement en faillite ! Bref, tout pour nous fliquer, nous faire disparaître et nous piquer du pognon…
Sans compter que tous les fournisseurs paient et fournissent déjà les justificatifs de ses normes, ce qui engendre un cumul inutile et inacceptable, bientôt pire que la TVA, car à l’échelle européenne…
Depuis un mois, nous avons perdu trois jours pleins de travail pour répondre aux normes chiées par l’UE ! Non merci…
Et l’on s’étonne que la France soit dans une telle situation ? Laissez-nous travailler, laissez-nous vivre !
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